Une video toute fraiche !


Qu’en est-il pour les event ? et bien c’est la même chose. Il y avait peu d’évent en France il ya quelques années mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. De nombreuses occasions de se rencontrer dans la campagne, sur une place de ville ou dans un café. Il est certain que dans certains cas les chiens ne sont pas désirés. Aussi, pour éviter les posts comme sur cet event : GC4N8YR Il convient là aussi de bien noter les attributs.

 

Pepe29 nous parle du geocaching
sur Tebeo

cliquez sur l’image et allez à 4’30 environ


 

On ne les voit pas mais ils sont sous nos yeux. 200 caches abritent des trésors au Bois-Joalland, en centre-ville ou sur les chemins côtiers. Le jeu se nomme géocaching. Il compte 5 millions de fans dans le monde.

« C’est un jeu de plein air qui permet de se promener tout en débusquant des objets cachés, raconte Didier Jouvin. Il faut juste avoir un GPS comme celui qu’on a sur son smartphone ou qu’on achète d’occasion 80 € sur Internet. »

Le Nazairien de 43 ans est, avec sa femme Corinne, un des principaux acteurs du réseau Géocaching dans la région nazairienne. Un jeu mondial apparu en 2000 comptant désormais 5 millions d’adeptes qui traquent ou disposent eux-mêmes les 2 millions d’objets cachés, du Canada à l’Inde, de l’Australie à l’Europe. « Les trésors en soi n’ont pas de valeur, détaille le couple. Il s’agit de petits soldats, de pin’s ou de fèves. L’intérêt est surtout de chercher ces petites boîtes secrètes, et de les trouver ! »

Dans le creux des troncs

Sous une pierre, au creux d’un tronc ou sous un faux champignon, de petits coffrets abritent le court texte expliquant le principe du jeu, la babiole qui sert de trésor et une feuille sur laquelle on peut témoigner de son passage avant de tout remettre en place.

Pour entrer dans le jeu, la démarche est simple : il faut aller sur Internet, choisir un lieu de balade et noter les coordonnées GPS des caches installées dans les environs. Dans un rayon de 25 kilomètres autour de Saint-Nazaire, 300 objets ont déjà été déposés, dont un bon tiers dans le Pays de Retz.

« Nous avons découvert ce jeu sur Internet en 2007, poursuit ce papa de trois enfants. À l’époque, il n’y avait qu’une cache dans le coin, en Brière près de Crossac. » Depuis, la communauté locale de géocacheurs s’est agrandie et l’équipe familiale baptisée Les Cinq a été rejoint par Petit loup, Lazuli44 ou les Découvreurs. Des familles mais aussi des couples sans enfants ou des retraités.

Onze géocaches permettent par exemple de faire le tour du Bois-Joalland, d’autres de découvrir l’ancien camp des sous-mariniers allemands près de Beauregard ou de flâner dans le parc paysager

« Aujourd’hui, on prend autant de plaisir à chercher qu’à créer de nouvelles caches, » confie le couple. Les Jouvin ont ainsi 1 656 découvertes à leur actif mais aussi 117 nouvelles créations. « Nous venons même d’ajouter 86 caches supplémentaires dans les environs, » s’enthousiasme Didier. Car la passion de ce technicien du terminal méthanier de Montoir est de créer des caches aussi insolites qu’amusantes. Un de ces chefs-d’oeuvre est ainsi une cache qui se révèle lorsqu’un moteur électrique la fait descendre de l’arbre au bout d’un fil. Le mouvement se déclenche par le promeneur qui pose sa pile entre deux vis masquant un mécanisme subtil. À vous de jouer.

(1) Site Internet : geocaching.com ou mides.fr. Applications smartphone : introgeocaching (gratuit) ou geocaching (9 €)

Thierry HAMEAU.

Ouest-France

Un reportage sur RTL TVI
geocaching

 

 

LE COUP DE SANG DE VICARIUS


Il y a des jours où tout ce  que  l’inconscient  a pu emmagasiner durant de nombreuses décades de jours, de mois que dis je  d’années, et le plus souvent à notre insu, ressort au grand jour c’est-à-dire dans le conscient.

J’en suis là, présentement.

Que l’éthique ou  guide line, ou tout simplement le respect d’autrui avec une certaine  notion de responsabilité nous oblige dans le respect le plus complet, nous propriétaires de caches,  (j’ai lu qu’on pouvait l’énoncer par un anglicisme de plus : l’OWNER !)  à  maintenir lesdites, à leur rendre vie et âme ne se discutent pas et plus.

Je me suis amusé (c’est une façon de m’exprimer) à relire les commentaires depuis les  PAT jusqu’au jour de leurs archivages par nos sympathiques contrôleurs  de plus de  dix  de mes caches ; je me suis aperçu que pour la moitié d’entre elles on peut lire : boite éventrée, cassée, voire piétinée, ouvertes aux quatre vents, visibles à l’œil nu, posées à même le sol sans respecter l’endroit  initial,  logs mouillés, pourris, déchirés, donc inexploitables,  plus de crayon, plus d’objet ( et je ne parle pas des GC ou autres TB qui se volatilisent sans explication, enfin à priori !) ,.

C’est à la lumière de ces commentaires que j’ai pris un coup de sang, car si le principe de la  maintenance ne peut  et ne doit pas être remis en question,  être obligé d’assurer et d ’assumer cette charge de  travail  à cause de Géo-trouveurs maladroits, égoïstes, étourdis, imprudents, irrespectueux, incompétents, bousilleurs, saboteurs, en un mot massacreurs de nos boites, alors là, je dis stop . Que certaines boites soient placées dans des endroits difficiles,  peu commodes, dangereux, impossibles,   j’en passe,  d’accord, alors que les commentaires interpellent le propriétaire qui pourra alors en modifier le lieu, l’endroit et la forme,  et que les logs débiles du genre MPLC cessent d’exister……. Nous pratiquons une activité où l’imbrication poseur/chercheur est pleine et entière, la solidarité, après tout, c’est cela.

Ceci est une constatation, une sorte de diagnostic au mal, mais il faut penser urgemment à la thérapie, comment soigner cette maladie qui nous ronge, nous les placeurs bénévoles, emplis de passion et de joie qui risquent un jour ou l’autre  de glisser vers le découragement sans retour possible.

Voila mon remède, en tout  cas une solution parmi tant d’autres  qui pourrait, à mon sens limiter cette inflation dans le désordre de nos caches ; il faut apporter au code de l’éthique et guide line comme dit plus avant, un article supplétif qui rendrait pour responsable du désordre constaté  le dernier géacacheur  ayant logué une foud it ; il serait alors reconnu coupable et de ce fait la maintenance de la cache bafouée lui reviendrait  de plein droit. …….

Je plaisante bien sur, mais les plaisanteries les plus courtes sont souvent les meilleures.

Vicarius

Arthur part à l’aventure ! @arthur_dares

Arthur dares ! – Arthur part à l’aventure est parti d’un constat très simple. Nombreux sont les sports, les activités qui restent méconnus car trop récents ou trop peu médiatisés. L’idée de départ est de présenter, de faire découvrir et de sensibiliser le public à ces nouvelles (ou non) tendances. Le projet de « Arthur dares ! » (Littéralement « Arthur Ose ») est de pouvoir répondre à ceux qui se posent des questions, ceux qui n’osent pas par peur de ne pas y arriver ou tout simplement qui ne connaissent pas. Arthur se jette à l’eau à votre place, ose ce que vous n’osez pas encore, vous donne des réponses et vous aide à vous lancer dans vos projets. En toute simplicité.

Quelle est votre description éclair pour quelqu’un qui n’a jamais entendu parler de geocaching?

Le géocaching est une chasse au trésor moderne où vous utilisez des périphériques compatibles GPS pour retrouver les conteneurs cachés par des gens partout dans le monde. Je parie avec vous, il y a une cache cachée à quelques pas d’ici.

Lorsque vous avez commencé Geocaching.com, quelle taille imaginiez-vous que la communauté de géocacheurs prendrait ?

Quand j’ai commencé à travailler sur le site, je n’ai pas pensé à ce qu’allait devenir la communauté. J’étais intéressé par la façon dont la technologie de géolocalisation marchait. Je voulais aussi savoir comment je pourrais créer un site web qui attire beaucoup de géocacheurs. La raison égoïste, c’est que je voulais que les gens cachent plus les caches donc que j’en ai plus à découvrir.

Etes-vous aujourd’hui toujours surpris par la créativité des caches placées par les géocacheurs ?

Comme le jeu a augmenté, la créativité des sortes de cache a également augmenté. Aujourd’hui, je finis par être plus surpris à propos de cache que je l’ai été il y a cinq ans. Certaines personnes investissent des centaines de dollars dans les expériences les plus uniques pour les géocacheurs juste pour l’amour de l’activité ou apporter leurs esprits créatifs.

Quel est votre type préféré d’environnement ou de terrain pour faire du géocaching ?

Mes trésors préférés sont ceux qui occasionnent de longues randonnées, C’est donc plus l’endroit que le conteneur qui me plait. Hiking Old Man de Coniston au nord-ouest Angleterre était une de mes expériences notables cette année, en partie pour la randonnée et surtout parce que je l’ai fait avec cacheurs locaux.

De quelle manière pensez-vous que les activités ludiques liées au GPS vont se développer et évoluer dans les prochaines années?

Les smartphones sont le nouveau dispositif primaire GPS. De nombreux nouveaux géocacheurs le sont après avoir mis en place une application géocaching sur leur téléphone. Nous aurons plus de possibilités d’expérimenter avec des expériences de géocaching plus interactives, un peu comme nous l’avons fait lorsque nous avons expérimenté Wherigo il y a quelques années. Nous voulons compléter les expériences créatives que les gens font avec leurs trésors avec des outils numériques et du contenu. Les 10 prochaines années devraient être plus passionnantes que les dernières!

 

article publié par

http://fivequestionsforyou.com/2012/12/11/jeremy-irish/