Deux satellites seront mis en orbite jeudi par Soyouz et formeront le noyau de Galileo, système de navigation de l’UE.

Avec ce nouveau système civil, il s’agit, pour l’Union européenne, de se démarquer de ses rivaux américain et russe.

« Galileo provient d’une volonté européenne d’indépendance en termes de positionnement vis-à-vis du GPS américain et GLONASS russe », explique Claude Audouy, responsable des opérations Galileo au CNES (Centre national d’études spatiales français) à Toulouse.

Les principales différences

GPS et GLONASS sont tous deux sous contrôle militaire, tandis que Galileo sera entièrement placé dans le domaine civil. Financé à 100% par la Commission européenne (environ 5 milliards d’euros pour la première partie de la constellation) et mis en oeuvre par l’ESA (agence spatiale européenne), Galileo assure pouvoir fournir une meilleure couverture et une meilleure précision que ses actuels concurrents, grâce à une constellation plus dense et une orbite plus élevée.

Alors que le GPS dispose de 24 satellites (dont trois de secours) à 20 200 km d’altitude, Galileo prévoit d’en aligner 30 (dont trois de secours  également) à 23 222 km. Résultat : le système américain affiche une précision de trois à huit mètres contre un mètre promis par le projet européen.

Ultra-précision

Les deux satellites lancés depuis le Centre spatial guyanais (CSG), qui seront suivis par deux autres en 2012, embarquent à leur bord les meilleures horloges atomiques jamais utilisées dans la navigation, d’une précision d’une seconde sur trois millions d’années.

Une mesure précise du temps est primordiale dans la navigation par satellite, qui consiste à convertir le temps en distance. Chaque satellite émet  un signal indiquant sa localisation sur orbite ainsi que le moment exact où ce signal est émis. Le signal voyageant à la vitesse de la lumière, il suffit de calculer le temps qui s’est écoulé entre son émission et sa réception pour en déduire la distance qu’il a parcouru.

Ces quatre premiers satellites, conçus par Astrium pour une durée de vie de  douze ans, doivent permettre de « valider » le fonctionnement du système en orbite tout en fournissant les premiers services de Galileo, prévus pour 2014 avant une montée en puissance progressive.

Par FTV avec agences

STEPHANE CORVAJA / AFP

« Magellan a travaillé avec Groundspeak sur l’eXplorist GC qui est un appareil dédié Geocaching et c’est sa particularité. Pour répondre à vos questions sur les cartes: la gamme de GPS Magellan fonctionne comme les Garmin sur ce point. Il existe une carte vectorielle de même année que celle de Garmin. Les différences étant: une carte de « base » plus fournit que chez Garmin, une mise en valeur plus claire des GR dans les cartes topo Magellan et une possibilité d’acheter des surfaces plus petites que chez Garmin qui « force » l’achat au minimum de 1/4 de France. Magellan propose des départements, secteurs, 1/4 de France et France entière, en µSD ou en téléchargement (suivant référence). Vous pouvez notamment voir l’étendu de cette offre sur le site partenaire: www.topofrance.com. NEANMOINS, pour ce qui concerne l’eXplorist GC, appareil peu cher, très simple et dédié pour le Geocaching, il n’est pas possible d’y intégrer des cartes topos: il faut se contenter de la carte de base qui contient néanmoins toutes les routes de France et même la plupart des GRs. Il est clair qu’un utilisateur averti utilisera plutôt les eXplorist 310, 510, 610 ou 710 (fichier comparatif joint) qui présentent les mêmes fonctionalités dédiés Geocaching mais aussi les possibilités offertes par un GPS Outdoor traditionnel (type Oregon), mais pour un débutant ou quelqu’un qui souhaite un petit appareil dédié pour le Geocaching, l’eXplorist GC est vraiment sympa. »

comparatif Magellan

Pascal Darré prend la responsabilité de Magellan France

mercredi 12 octobre 2011

Le fabricant d’appareils GPS Outdoor annonce la nomination de Pascal Darré au poste de Responsable France. Diplômé de l’ESINSA (Ecole Supérieure d’Ingénieur de Nice Sophia-Antipolis), Pascal Darré a débuté sa carrière chez Philips Semiconductors en 2000 en tant qu’ingénieur, avant de travailler en comme partenaire au lancement de la start-up Limmoanoo en 2006.

Puis il devient Directeur Marketing de CompeGPS dont il assure le développement marketing et commercial, avant de mettre à profit son expérience auprès d’entreprises ou de fédérations, telles que la FFRP (Fédération Française de Randonnée pédestre) en tant que consultant Marketing GPS Outdoor freelance.

En parallèle, Pascal Darré a collaboré avec différentes publications en tant que journaliste freelance, expert en GPS, Outdoor et high-tech. Grand amateur de sports de montagne, il a notamment traversé les Pyrénées en 12 jours en VTT (900km / 25 000m de dénivelé) en Juin 2005, sponsorisé par Mio Technology. Marié et père de 3 enfants, il vit dans la région grenobloise, berceau de l’Outdoor.

Fort de ses 10 ans d’expérience dans le GPS outdoor, Pascal Darré rejoint Magellan en Septembre 2011 en tant que Responsable France, où il est en charge du développement de la marque Magellan et plus particulièrement des produits GPS Outdoor en France.

« Ma nomination confirme la volonté de relancer Magellan comme leader sur le marché des GPS Outdoor, notamment en France, pays clé de la stratégie navigation de Mitac qui a racheté Magellan fin 2008. Personnellement, rejoindre une marque historique de la navigation dans une phase de renouveau, avec un contexte d’accroissement des usages du GPS Outdoor, représente un challenge des plus motivants.» déclare Pascal Darré.

 

Où que vous soyez, sur l’un des territoires couverts par le Géoportail, vous avez toujours sous la main la carte qu’il vous faut.

L’ergonomie de l’iPhone est mise à profit pour rendre la manipulation très aisée : glissement fluide du bout du doigt, zoom par pincement/écartement, rotation en paysage automatique, secousse, extinction d’écran. La résolution élevée de l’écran rend aux cartes un piqué plaisant et, par un heureux hasard, les restitue précisément dans leur échelle familière : les cartes sont à leur juste taille.

Les cartes et photos sont chargées, tuile par tuile — une tuile est un carré de 256px de coté — depuis le serveur du Géoportail. Les tuiles sont mises en cache (en réserve) dans l’iPhone et restent disponibles pour être affichées ultérieurement, même en l’absence de connexion au réseau. Une utilisation à l’improviste nécessite donc la présence d’un réseau, ce qui est le cas bien souvent. Pour une utilisation en promenade ou randonnée, particulièrement en montagne où la couverture réseau est mauvaise, il suffit d’afficher les cartes dont on aura besoin, même brièvement, pour qu’elles se trouvent disponibles un peu plus tard. Il n’est pas nécessaire de s’y prendre longtemps à l’avance. Au dernier moment, sur un parking, au départ d’une ballade, tant qu’on a du réseau et quelques minutes devant soi.

Depuis la version 1.2, iPhiGéNie permet la recherche d’adresses et de toponymes. Chercher un lieu-dit sur un fond au 1/25 000 est devenu un jeu d’enfant.

Avec la version 2, iPhiGéNie dispose de fonctions d’enregistrement, import et export de traces. Cette version ajoute aussi la gestion de point d’intérêt que l’on peut importer et exporter.

Traces, repères, import/export GPX

carte IGN iphone

Avec sa version 2 iPhiGéNie permet l’enregistrement et l’affichage de traces et le positionnement de repères sur la carte.

Toutes ces informations peuvent être exportées et importée en utilisant le format standard GPX

  • Un prix d’utilisation très raisonnable. La version de base d’iPhiGéNie, avec la licence d’essai d’un mois est gratuite. Ensuite, la licence Géoportail, à 13,99 €/an en accès illimité ne cache aucun coût induit.
  • Universelle iPad/iPhone Dès la première version publiée, iPhiGéNie fonctionne sur l’iPad comme sur l’iPhone. Les utilisateurs d’iPad profitent de cartes au format large. Une même licence est automatiquement validée sur tous les appareils d’un même utilisateur.
  • Développée spécifiquement pour l’iPhone. iPhiGéNie n’est pas le résultat d’un portage, ou d’un développement multi plateforme, ou une web-app javascript embarquée. Cela lui permet de tirer le meilleur parti de l’iPhone et lui garanti une interface conforme aux standards que vous appréciez.
  • Interface sobre, laissant le plus d’espace possible aux cartes. Les outils restent disponibles aisément dans les barres d’outils escamotables.
  • Développée spécifiquement pour les ressources du géoportail. Les cartes IGN sont le point de départ et le cœur de l’application. Tout est fait pour en tirer le meilleur parti et une utilisation rapide et efficace.
  • Toutes les échelles de cartes sont disponibles, pour tous les territoires couverts par le Géoportail.
  • Le module Vmax (4,99 €) qui contient les fonctions avancées sera enrichi sans surcoût. Son prix pourra évoluer dans le futur, mais une fois acquis il ouvre droit aux mises à jour ultérieures.
  • Modules et licences sont acquis via les achats intégrés de l’AppStore. Simple, rapide et sûr.

Sur l’android market il vous suffit de chercher le nom indiqué en titre et vous pourrez la télécharger. Une application gratuite dont le seul défaut est de ne pas permettre le log sur les TB ou géocoins.

c:geo c’est finit

Carnero, le créateur de cette application si pratique baisse les bras devant l’attitude de Groundspeak. Ces derniers, inventeur de ce jeux veulent le rentabiliser et font tout pour éliminer les applications concurrentes.

Cela peut certes se concevoir car il s’agit d’une entreprise commerciale mais qui bénéficie cependant de reviewers bénévoles et de placeurs qui permettent gratuitement le fonctionnement du jeu.

Un petit retour d’ascenseur en créant un API publique et en permettant la création d’applications libres et gratuites favoriserait le développement du jeu. On a vu les modifications récentes aussi utiles les unes que les autres apparues après la création d’opencaching.com.

voir le blog de Carnero que l’on remercie pour son travail : (traduction google)

A bientot

bon geocaching

Aquafafa

Jeu concours TwoNav

pour gagner un GPS

Nouveauté sur le GPSMAP 62

Garmin ne cesse d’annoncer des nouveautés. La dernière en date est l’incorporation dans la gamme des GPSMAP 62 d’un appareil photo de 5 mégapixels qui fait des photo géolocalisées. Vous pouvez voir l’article en Anglais en cliquant sur la photo

 

Ecran couleur (selon le modèle), paperless pour le géocaching car il accepte les fichiers GPX, boussole électronique et altimètre. Il seront proposés au prix de 120,200 ou 300 dollars selon le modèle

http://garmin.blogs.com/.a/6a00d83451bb7069e2015432a2a723970c-200wi

http://garmin.blogs.com/.a/6a00d83451bb7069e2015432a297b7970c-200wi

a suivre..