Vous avez envie de faire voyager des objets dans les caches sans dépenser. Il existe les GeoKrety dont on vous a déjà parlé. Vous pouvez les suivre sur les pages des caches avec les logiciels Chrome et Firefox en y ajoutant ces compléments :

pour Chrome ici

pour Firefox ici

 

Nous avons eu beaucoup de plaisir à chercher les caches lors du mega event de la montagne Bourbonnaise. A cette occasion nous avons pris des travel bugs pour les faire voyager. Voila que le problème commence.

La taille des caches proposées diminue de plus en plus et il va devenir difficile de replacer des TB volumineux. Impossible en général dans les caches urbaines et pourtant ce sont celles qui sont le plus visitées. Le placer dans une cache perdue au sommet d’une montagne visitée 2 ou 3 fois par an ?

Nous avons donc des TB à placer. Une sortie géocaching avec un vingtaine de caches en perspective devrait nous permettre de les placer. Que neni ! des micros, de petites small ! bref, à la fin de la journée nous restons avec les TB. Un peu dépité nous rentrons et au moment de loguer nos découvertes, un mail du propriétaire d’un des TB nous demande si nous allons bientôt le poser à nouveau !

On lui explique et on se dit que la prochaine fois on laissera sur place le gros TB dans une cache perdue au fond des bois !

Donc futur propriétaire de TB faites attention de ne pas les faire trop volumineux !

Equipe Rabatau

Une équipe de choc se plie en 4 pour vous surprendre
et faire de cette journée une journée pas comme les autres.

Cette date n’a pas été choisie par hasard…
Plus de 60 caches seront placées et organisées selon 4 thèmes :

La Grande Guerre
Insolite
Patrimoine

Deux satellites seront mis en orbite jeudi par Soyouz et formeront le noyau de Galileo, système de navigation de l’UE.

Avec ce nouveau système civil, il s’agit, pour l’Union européenne, de se démarquer de ses rivaux américain et russe.

« Galileo provient d’une volonté européenne d’indépendance en termes de positionnement vis-à-vis du GPS américain et GLONASS russe », explique Claude Audouy, responsable des opérations Galileo au CNES (Centre national d’études spatiales français) à Toulouse.

Les principales différences

GPS et GLONASS sont tous deux sous contrôle militaire, tandis que Galileo sera entièrement placé dans le domaine civil. Financé à 100% par la Commission européenne (environ 5 milliards d’euros pour la première partie de la constellation) et mis en oeuvre par l’ESA (agence spatiale européenne), Galileo assure pouvoir fournir une meilleure couverture et une meilleure précision que ses actuels concurrents, grâce à une constellation plus dense et une orbite plus élevée.

Alors que le GPS dispose de 24 satellites (dont trois de secours) à 20 200 km d’altitude, Galileo prévoit d’en aligner 30 (dont trois de secours  également) à 23 222 km. Résultat : le système américain affiche une précision de trois à huit mètres contre un mètre promis par le projet européen.

Ultra-précision

Les deux satellites lancés depuis le Centre spatial guyanais (CSG), qui seront suivis par deux autres en 2012, embarquent à leur bord les meilleures horloges atomiques jamais utilisées dans la navigation, d’une précision d’une seconde sur trois millions d’années.

Une mesure précise du temps est primordiale dans la navigation par satellite, qui consiste à convertir le temps en distance. Chaque satellite émet  un signal indiquant sa localisation sur orbite ainsi que le moment exact où ce signal est émis. Le signal voyageant à la vitesse de la lumière, il suffit de calculer le temps qui s’est écoulé entre son émission et sa réception pour en déduire la distance qu’il a parcouru.

Ces quatre premiers satellites, conçus par Astrium pour une durée de vie de  douze ans, doivent permettre de « valider » le fonctionnement du système en orbite tout en fournissant les premiers services de Galileo, prévus pour 2014 avant une montée en puissance progressive.

Par FTV avec agences

STEPHANE CORVAJA / AFP

Où ne pas poser votre cache ?

Regardez cette vidéo instructive  des Geomordus en cliquant

« Magellan a travaillé avec Groundspeak sur l’eXplorist GC qui est un appareil dédié Geocaching et c’est sa particularité. Pour répondre à vos questions sur les cartes: la gamme de GPS Magellan fonctionne comme les Garmin sur ce point. Il existe une carte vectorielle de même année que celle de Garmin. Les différences étant: une carte de « base » plus fournit que chez Garmin, une mise en valeur plus claire des GR dans les cartes topo Magellan et une possibilité d’acheter des surfaces plus petites que chez Garmin qui « force » l’achat au minimum de 1/4 de France. Magellan propose des départements, secteurs, 1/4 de France et France entière, en µSD ou en téléchargement (suivant référence). Vous pouvez notamment voir l’étendu de cette offre sur le site partenaire: www.topofrance.com. NEANMOINS, pour ce qui concerne l’eXplorist GC, appareil peu cher, très simple et dédié pour le Geocaching, il n’est pas possible d’y intégrer des cartes topos: il faut se contenter de la carte de base qui contient néanmoins toutes les routes de France et même la plupart des GRs. Il est clair qu’un utilisateur averti utilisera plutôt les eXplorist 310, 510, 610 ou 710 (fichier comparatif joint) qui présentent les mêmes fonctionalités dédiés Geocaching mais aussi les possibilités offertes par un GPS Outdoor traditionnel (type Oregon), mais pour un débutant ou quelqu’un qui souhaite un petit appareil dédié pour le Geocaching, l’eXplorist GC est vraiment sympa. »

comparatif Magellan

Pascal Darré prend la responsabilité de Magellan France

mercredi 12 octobre 2011

Le fabricant d’appareils GPS Outdoor annonce la nomination de Pascal Darré au poste de Responsable France. Diplômé de l’ESINSA (Ecole Supérieure d’Ingénieur de Nice Sophia-Antipolis), Pascal Darré a débuté sa carrière chez Philips Semiconductors en 2000 en tant qu’ingénieur, avant de travailler en comme partenaire au lancement de la start-up Limmoanoo en 2006.

Puis il devient Directeur Marketing de CompeGPS dont il assure le développement marketing et commercial, avant de mettre à profit son expérience auprès d’entreprises ou de fédérations, telles que la FFRP (Fédération Française de Randonnée pédestre) en tant que consultant Marketing GPS Outdoor freelance.

En parallèle, Pascal Darré a collaboré avec différentes publications en tant que journaliste freelance, expert en GPS, Outdoor et high-tech. Grand amateur de sports de montagne, il a notamment traversé les Pyrénées en 12 jours en VTT (900km / 25 000m de dénivelé) en Juin 2005, sponsorisé par Mio Technology. Marié et père de 3 enfants, il vit dans la région grenobloise, berceau de l’Outdoor.

Fort de ses 10 ans d’expérience dans le GPS outdoor, Pascal Darré rejoint Magellan en Septembre 2011 en tant que Responsable France, où il est en charge du développement de la marque Magellan et plus particulièrement des produits GPS Outdoor en France.

« Ma nomination confirme la volonté de relancer Magellan comme leader sur le marché des GPS Outdoor, notamment en France, pays clé de la stratégie navigation de Mitac qui a racheté Magellan fin 2008. Personnellement, rejoindre une marque historique de la navigation dans une phase de renouveau, avec un contexte d’accroissement des usages du GPS Outdoor, représente un challenge des plus motivants.» déclare Pascal Darré.

 

LES VISAGES DE L’ACTUALITÉ |

Judith et Jérémy Kean ne déterrent pas des louis d’or enfouis dans la campagne montreuilloise. Ces Anglais, propriétaires d’une maison de vacances à Camiers, ne chassent que les trésors touristiques. Pour pénétrer dans leur monde merveilleux de geocacheurs, il n’y a qu’à suivre son… GPS !

1 – Un geocacheur sachant cacher… … est un bon geocacheur, qu’on se le dise ! Derrière ce mot anglais se cache un loisir qui a le vent en poupe. L’idée, c’est de randonner à la recherche d’une « cache » (voir ci-dessous), dissimulée dans un endroit digne d’intérêt : un panorama à couper le souffle, une bâtisse originale… Le tout guidé via des coordonnées préalablement entrées dans un GPS. Pour corser le jeu, et lui donner une touche de chasse au trésor, il y a souvent des énigmes à résoudre pour déchiffrer des codes utiles à la progression du promeneur. « Ce sont de bonnes idées de balades, avec des choses intéressantes à découvrir, pas toujours touristiques d’ailleurs… Mais toujours accessibles à tous », expliquent Judith et Jérémy Kean, à l’origine de plusieurs circuits dans le Montreuillois, où ils ont dissimulé une quinzaine de caches.

2 – Pour vivre heureux,vivons geocaching.

Judith Kean a découvert le geocaching dans un article, il y a six ans, et a converti son mari et ses deux enfants. « Nous aimons marcher, mais les enfants n’ont pas toujours envie de nous suivre. J’ai trouvé que c’était une bonne idée pour les encourager. » Banco ! La famille s’inscrit alors sur le site gratuit geocaching. com, qui référence les circuits dans le monde entier. « Mais s’il y en avait chez nous, à Oxted, il n’y avait rien à Camiers. » Ni une ni deux, les Kean décident de cacher de petits « trésors » dans la nature montreuilloise, pour faire découvrir à la communauté des geocacheurs les merveilles de ce coin de France qu’ils affectionnent. Parmi les lieux qu’ils recommandent : « l’église et la mer » à Camiers « l’huître de Whitstable » sur le port d’Étaples les environs du cimetière anglais d’Étaples les éoliennes… « Tout est question d’imagination. Souvent ce sont des lieux de nature préservée ou de petits clins d’oeil amusants ! » Sur le site, le couple indique le niveau de difficulté de l’énigme et du terrain, ainsi que le temps estimé.

3 – L’arbrequi cache la forêt.

Si certains fans comptent à leur actif des milliers de caches, Judith et Jérémy n’en sont pas là. « Nous ne sommes que des amateurs.

Pour nous, c’est d’abord un jeu. » Pour preuve, le couple, à l’humour british, a mis une cache tout près de son domicile, « histoire de s’amuser à voir les gens chercher » derrière un panneau ou une rambarde… Une quinzaine de caches en tout, pas plus. « Car il faut s’en occuper, venir voir que tout est en place régulièrement. Beaucoup disparaissent, à cause du vent, des animaux, d’autres sont volées. » Mais le couple est formel, d’autres geocacheurs sévissent dans les environs. Des pseudos qu’on retrouve sur Internet, à côté d’autres caches à découvrir : les blockhaus de Camiers ou le sommet du Mont Saint-Frieux… Et à voir les messages laissés sur place (une autre tradition de geocacheurs), nombreux sont les touristes à s’y frotter. À croire que beaucoup aiment chercher la petite… boîte !

PAR ÉLODIE ADJOUDJ
montreuil@lavoixdunord.fr

 

Par Simonlevant

Team 360 au MEGA EVENT en montagne Bourbonnaise